16 Octobre 2017
His name is Bishop. He has 100 ways to kill... and they all work.
Tueur à gages méthodique, Arthur Bishop prépare chacun de ses contrats sans rien laisser au hasard. Ni plainte. Ni indice. Ni témoin. Lorsque l’«Organisation» lui demande d’exécuter son mentor, Bishop n’hésite pas. Pourtant, la lassitude le gagne. Souhaitant raccrocher, cet éternel solitaire prend sous son aile le fils de sa dernière victime et l’initie aux secrets du métier. Cette décision va lui réserver bien des surprises…
CHARLES BRONSON, TUEUR ICONIQUE
DANS UN THRILLER CULTE
Le réalisateur Michael Winner le résumait parfaitement : « Tous mes films sont cyniques et tordus. Tordus, dans le bon sens… ». Des Collines de la terreur au Justicier dans la ville, il a toujours offert des rôles forts à Charles Bronson mais celui de cet assassin stratège et esthète est incontestablement le plus marquant de cette icône intemporelle du 7e Art.
Visage buriné, démarche féline, regard perçant et mutisme troublant, la star incarne Bishop de tout son être et forme un duo animal avec son mystérieux disciple Jan-Michael Vincent. Atmosphère crépusculaire magnifiée par la photographie de Richard H. Kline ("Soleil vert"), BO angoissante signée Jerry Fielding ("La Horde sauvage"), mise en scène intelligente et nerveuse, scénario machiavélique... Ce chef-d’œuvre des 70’s reste un modèle du genre d’une incomparable efficacité.
Thriller audacieux, glaçant et pervers, LE FLINGUEUR, c’est Bronson, le seul, l’unique. Totalement culte. Souvent copié. Jamais égalé.
COMPLÉMENTS
- AMERICAN SAMOURAI (30’) : entretien avec Dwayne Epstein, historien du cinéma et biographe de Charles Bronson.
- HIRED HAND: L'HOMME DE MAIN (10'), ou comment le cinéaste Monte Hellman a failli réaliser Le Flingueur
- le livret de 48 pages spécialement écrit par Samuel Blumenfeld, accompagné de photos d’archives.
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